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Affichage des articles associés au libellé transport maritime

lL'Arctique – le futur nœud de transport maritime important de la planète

La position géographique de la Russie définit naturellement son rôle particulier pour relier l'Europe et la région Asie-Pacifique. Les voies de transport courtes, efficaces et économiquement rentables, que pourraient être offertes par la Russie, ont attiré l'attention des expéditeurs et des transporteurs à travers le monde. Pour sa part, le gouvernement russe considère le développement des infrastructures de transport une source potentielle importante de revenus pour le pays, comparables au profit de l'exportation de matières premières. Actuellement, le transit international de marchandises à travers la Russie est inférieure à 1% du commerce entre l'Europe et l'Asie. Le pays utilise seulement 5-7% de leurs installations de transit. L'Arctique a l'importance particulière pour la réalisation du potentiel de la Russie dans le secteur des transports, parce que cette région possède des excellentes possibilités pour devenir l'un des centres...

Vers un transport maritime plus durable?

Transformer le transport maritime d'ici 2040 pour améliorer ses performances sociales et environnementales, c'est l'ambition que se donne cette plate-forme orchestrée par WWF et Forum for the future qui rassemble quinze industriels et clients du secteur. Alors qu'il représente plus de 3% des émissions mondiales de GES, le secteur n'est soumis à aucun système de régulation. « Si vous regardez les objets autour de vous dans cette pièce, l’immense majorité a été transportée par bateau, même si les consommateurs n’en ont souvent pas conscience », souligne Sam Kimmins, chargé de mission de l’ONG Forum For the Future. 90% des marchandises sont transportées sur les 100 000 cargos qui sillonnent les mers en permanence. À première vue, le navire figure parmi les moyens de transports les plus vertueux (10 à 15 g de CO2 par tonne-kilomètre, contre 51 à 91 g/tkm pour la route et 673 à 867 g/tkm pour le transport aérien). Mais le nombre de tonnes/kilomètres, qui a doublé...

Transport maritime en Afrique: L'algerie combine mer et terre

L'Algérie s’apprête à réaliser des plateformes logistiques connectées au rail et à la route, dans le but d’accroître la compétitivité de ses équipements portuaires. Ces interfaces suffiront-elles à fluidifier le trafic ? Avec près de 1 200 km de côtes, l’ Algérie ne manque pas de débouchés maritimes pour le transport de marchandises. D’est en ouest, d’Annaba à Ghazaouet, ses dix ports de commerce ont assuré l’importation et l’exportation, en 2010, de plus de 117 millions de tonnes de produits divers. Objectifs à présent recherchés : faciliter la desserte de tout le pays et réduire coûts et délais de livraison, via des plateformes logistiques faisant office d’interfaces entre les transports maritime et terrestre. Pour fluidifier le trafic en amont et en aval des ports, les pouvoirs publics ont annoncé cet été la réalisation, dans les mois à venir, de plusieurs pôles multimodaux, à Alger, Annaba, Arzew, Béjaïa, Djen-Djen, Ghazaouet, Mostaganem, Oran, Skikda et Ténès....

Le Transport maritime : en Afrique la concurrence ne s'affaiblit pas

Philippe Gery : "GPM veut faire d'Owendo un accélérateur de croissance" x Envoyer un article Votre Nom * Votre Email * Le nom de votre ami * Adresse Email de votre ami * Message * Tous les champs marqués * sont obligatoires Ce Français de 36 ans a intégré le groupe Portek en 2003. © Tiphaine Saint-Cricq pour J.A. Filiale de Portek – récemment racheté par le japonais Mitsui –, Gabon Port Management est chargé de l’entretien et du développement des installations de Libreville et de Port-Gentil, où il multiplie les investissements. Entretien avec Philippe Gery, Directeur général de Gabon Port Management. JEUNE AFRIQUE : Quel bilan dressez-vous de la présence de Portek au Gabon depuis 2007 ? PHILIPPE GERY : Plutôt positif. Beaucoup de choses ont été réalisées dans l’entretien et le développement des installations portuaires. Nous avons investi en moyenne 2,5 milliards de F CFA par an [3,8 millions d’euros, NDLR]. Et, depuis le débu...