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Affichage des articles du novembre, 2009

Méga-investissement dans le secteur de transport

Les grands chantiers du Maroc intègrent également le développement des infrastructures de transport. Logique. Les infrastructures devant porter les investissements enclenchés à travers les différents axes géographiques identifiés économiquement porteurs. Rattraper le retard dans la construction des routes, autoroutes, des liaisons ferroviaires, portuaires et aériennes est donc le défi que s’est lancé le Maroc. Devenir la plateforme commerciale de la région Mena a été très souvent mis en exergue dans les différentes interventions officielles. Il n’empêche que l’amélioration des infrastructures de transport devra dans un premier temps changer les modes de comportements des habitants citadins ou ruraux. Conférer une mobilité aux citoyens permettra d’accélérer la régionalisation tant attendue. Le désenclavement des populations rurales représentant également une des priorités. Les investissements globaux sont colossaux. Ils s’élèvent à pas moins de 119,5 milliards de dirhams. Des routes et

free trade: threats

Any manager who tries to create a strategy out of worn-out clichés and unexamined nostrums is dismissed. Yet in the United States and other Western countries we have grown comfortable with the government following outworn nostrums about free trade. We have elevated the economic theory of free trade to the status of a national theology, and we follow its simple dictums as if they were immutable laws. We appear prepared to follow the precepts of free trade wherever they lead us, even if that means plunging lemminglike to our economic ruin. Today the evidence should be clear to anyone who wants to look at it: our blind allegiance to free trade threatens our national standard of living and our economic future. By sacrificing our home market on the altar of free trade, we are condemning ourselves and our children to a future of fewer competitive businesses, fewer good jobs, less opportunity, and a lower standard of living. These unacceptable outcomes threaten us in ways that are all related

Libre échange et protectionisme

I. Les théories traditionnelles du libre échange : 1) Définition du libre échange : Il s’agit d’une situation dans laquelle il n’y a pas d’obstacle à la libre circulation entre pays des biens, services et capitaux. 2) La théorie de l’avantage absolu d’Adam Smith (1723 – 1890) : C’est un libéral classique, un pays à un intérêt à produire les biens pour lesquels il dispose du coût moyen le plus bas par rapport à tous les pays et à importer les autres biens. 3) La théorie de l’avantage comparatif de David Ricardo (1772 – 1823) : Un pays a intérêt à produire les biens pour lesquels il possède un avantage comparatif par rapport à lui-même. L’avantage comparatif est donné par la productivité du travail, un pays se spécialise dans la production du bien pour lequel la production du travail est la plus élevée. Ce pays ne réalise plus qu’une seule production, il vend une partie de sa production à l’étranger, et la recette de ces exportations lui permettra de payer son importation, il peut donc s