Durant de decennies, le maroc adoptait la politique de protectionnisme afin de developper le tissu productif, en suivant l'exemple de Japon, les quatre dragons , et aussi les USA.
mais le probleme c'est que cette politique n'a qu'aggraver la production, puisque En raison des accords de libre échange, le marché marocain s'est envahi par des produits étrangers d'2conomie similaires, dont la qualité, la diversité et le prix sont bien plus concurrentiels. et par conséquent le Maroc n'est même pas arrivé à placer ses produits chez le marché étranger.
Alors la question qui se pose , est la suivante; en dehors des argumes, des tomates, des sardines, et des cornichons, qu'est ce que le Maroc a pour vendreà l'étranger comme produits transformés?
le Maroc doit penser forcemment à la branche de recherche et developpement de plusieurs secteurs; le plan vert qu'attend aà etre mis en scene, en est un des importants pas que le Maroc doit en penser.... il faut innover pour pouvoir trouver une place parmi les autres metropoles internationales en developpant les valeurs ajoutées des produits.
source de départ: edito de l'economiste magazine
mais le probleme c'est que cette politique n'a qu'aggraver la production, puisque En raison des accords de libre échange, le marché marocain s'est envahi par des produits étrangers d'2conomie similaires, dont la qualité, la diversité et le prix sont bien plus concurrentiels. et par conséquent le Maroc n'est même pas arrivé à placer ses produits chez le marché étranger.
Alors la question qui se pose , est la suivante; en dehors des argumes, des tomates, des sardines, et des cornichons, qu'est ce que le Maroc a pour vendreà l'étranger comme produits transformés?
le Maroc doit penser forcemment à la branche de recherche et developpement de plusieurs secteurs; le plan vert qu'attend aà etre mis en scene, en est un des importants pas que le Maroc doit en penser.... il faut innover pour pouvoir trouver une place parmi les autres metropoles internationales en developpant les valeurs ajoutées des produits.
source de départ: edito de l'economiste magazine
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