En plus de nous rappeler que nous sommes un état côtier ou la plupart des villes sont situées au bord de mer et qu’un Tsunami n’est pas à écarter, la catastrophe naturelle qui a frappé le Japon ce week-end, aura certainement des conséquences économiques graves sur le secteur de la pêche maritime et dans une moindre mesure sur le du transport maritime.
Ainsi, le japon qui est considéré aujourd’hui comme le principal client de nos produits halieutiques va connaitre certainement suivant les analystes une crise économique importante qui va impacter négativement le pouvoir d’achat de sa population. L’importance du japon pour les exportateurs marocains résident dans le fait que ce pays est un faiseur de marché au niveau des prix, surtout pour les produits halieutiques à forte valeur ajoutée comme le poulpe. Le secteur de la pêche qui connait un marasme dans un autre marché important pour le Maroc à savoir l’UE, doit conjuguer les efforts des professionnels et le département de la pêche pour faire face à cette nouvelle crise.
Pour le transport maritime, les conséquences devront être eux plus contenues, principalement en raison de la faiblesse des volumes des échanges commerciaux entre les deux pays. Mais il est plus qu’évident que le taux des primes d’assurance du transport maritime (corps et faculté) indexées pour la plupart sur le marché international vont connaitre une hausse en raison de la forte exposition des compagnies d’assurances face à ce désastre dont on chiffre le coût humain et matériel à des dizaines de milliards de dollars.
Ainsi, le japon qui est considéré aujourd’hui comme le principal client de nos produits halieutiques va connaitre certainement suivant les analystes une crise économique importante qui va impacter négativement le pouvoir d’achat de sa population. L’importance du japon pour les exportateurs marocains résident dans le fait que ce pays est un faiseur de marché au niveau des prix, surtout pour les produits halieutiques à forte valeur ajoutée comme le poulpe. Le secteur de la pêche qui connait un marasme dans un autre marché important pour le Maroc à savoir l’UE, doit conjuguer les efforts des professionnels et le département de la pêche pour faire face à cette nouvelle crise.
Pour le transport maritime, les conséquences devront être eux plus contenues, principalement en raison de la faiblesse des volumes des échanges commerciaux entre les deux pays. Mais il est plus qu’évident que le taux des primes d’assurance du transport maritime (corps et faculté) indexées pour la plupart sur le marché international vont connaitre une hausse en raison de la forte exposition des compagnies d’assurances face à ce désastre dont on chiffre le coût humain et matériel à des dizaines de milliards de dollars.
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